Pour son premier film, Elie Wajeman emballe la croisette à Cannes avec l’histoire d’un dealer parisien qui décide d’ouvrir un restaurant à Tel Aviv.
Sur www.lemondedesreligions.fr
La religion est un paravent difficile à percer, comme la morale ou toute idéologie. « Nous ne pouvons jamais, écrit le philosophe Emmanuel Kant, même par l’examen le plus rigoureux, pénétrer entièrement jusqu’aux mobiles secrets. » C’est d’une certaine façon ce que tente le film Alyah, présenté au Festival de Cannes le 18 mai, dans le cadre de la Quinzaine des réalisateurs.
Alex, anti héros assumé, glandeur et dealer parisien, décide de profiter d’une filiation juive ashkénaze pour émigrer en Israël. Lire la suite