Adolescent, le philosophe André Comte-Sponville a perdu la foi et « ce fut une libération », écrit-il dans L’esprit de l’athéisme (Albin Michel, 2006). Nourri aux Évangiles et à l’enseignement du Bouddha comme à Spinoza, cet esprit avide d’absolu à défaut de sacralité met en pratique une « spiritualité sans dieu ».
Cet entretien est paru dans Le Monde des religions (n°57, janvier – février 2013). Pour y accéder, abonnez-vous en ligne en cliquant ici.