Bien que les familles recomposées se banalisent, la nouvelle compagne du père reste honnie, brocardée, caricaturée. Une réforme du statut des beaux-parents pourrait-elle changer la donne ?
Cet article est paru dans Version Femina (n° 736, semaine du 9 au 15 mai 2016). Un grand merci aux membres du club des marâtres et à leur présidente, Marie-Luce Iovane-Chesneau, pour m’avoir accueilli à leur réunion. Merci également aux experts pour leurs analyses :
- La psychanalyste Laura Pigozzi, qui vient de publier Qui est la plus méchante du royaume ? (Albin Michel)
- Raphaëlle Rémy-Leleu, membre de l’association Osez le féminisme !
- L’historienne Yannick Ripa, directrice de L’étonnante histoire des belles-mères (Belin)
- La psychothérapeute Anne Sauzède-Lagarde, co-auteur de Former une famille recomposée heureuse (Dunod)
- La sociologue Irène Théry, directrice de l’ouvrage Filiation, origines, parentalité (Odile Jacob) et à l’affiche du film documentaire La sociologue et l’ourson.