La dernière leçon, film de Pascale Pouzadoux adapté du livre éponyme de Noëlle Châtelet, sur les écrans le 4 novembre, relance une question complexe : le droit à mourir dans le dignité, même si l’on n’est pas malade. Dans quelle mesure pourrions ainsi choisir l’heure de notre mort ?
Cet article est paru dans le magazine Version Femina (n° 709, semaine du 2 au 8 novembre 2015). Un grand merci, pour leurs témoignages et analyses, à Noëlle Châtelet, auteur du livre éponyme et d’une Suite à la dernière leçon (Seuil), à la réalisatrice Pascale Pouzadoux et au philosophe André Comte-Sponville, notamment auteur de Le sexe ni la mort (Albin Michel).