Et si l’autisme, l’hyperactivité ou encore la dyslexie n’avaient rien de pathologique, mais représentaient d’autres formes d’intelligence, de façons de penser et de voir le monde ? C’est l’idée défendue par les partisans de la « neurodiversité », un mouvement aussi populaire que controversé.
Cet article est paru dans Psychologies magazine (n° 408, avril 2020). Rendez-vous sur le site pour consulter le sommaire et acheter le numéro. Un grand merci aux spécialistes et aux personnes qui ont bien voulu apporter leurs témoignages :
- Thomas Carrasqueira, poète et musicien (témoignage recueilli par Valérie Péronnet)
- Brigitte Chamak, sociologue des sciences et chercheuse associée à l’Université de Paris
- Vivianne Huys, historienne de l’art et sémioticienne, chercheuse associée au MICA, co-autrice de Hier, j’ai rencontré Martin, L’autisme d’Hector au quotidien (PUG, janvier 2020)
- Arnaud Khun, ingénieur (témoignage recueilli par Valérie Péronnet)
- Juliette Speranza, autrice de théâtre, doctorante en philosophie, cofondatrice de l’association Neurodiversité France